La néo-banque Deblock, qui intègre un portefeuille crypto « auto-géré », lève 12 millions d’euros

2
884

Fondée par Jean Meyer, Adriana Restrepo, Aaron Beck [1] et Mario Eguiluz [2], Deblock est une néo-banque agréée en tant qu’Établissement de Monnaie Électronique auprès de l’ACPR [3] et enregistrée en tant que PSAN [4] auprès de l’AMF [5].

L’entreprise, qui compte aujourd’hui 35 collaborateurs, dont Claire Balva au poste de VP Stratégie, annonce une levée de fonds de 12 millions d’euros pour lancer la première banque acceptant les cryptomonnaies à travers un portefeuille « self custodial ».

« La véritable innovation de Deblock réside dans son portefeuille auto-géré : une solution technologique qui garantit un contrôle absolu sur son argent. Contrairement aux autres banques, personne, pas même Deblock, n’a accès au portefeuille. Les actifs numériques des utilisateurs sont ainsi protégés, et ce même si Deblock disparaît. »

Deblock, qui ouvre officiellement son service aujourd’hui, propose un compte bancaire avec un IBAN français, des cartes de paiement pour les transactions quotidiennes, des virements instantanés ainsi que la possibilité de déposer, retirer, convertir, les cryptomonnaies en euros et vice versa, sans contraintes ni limites.

En savoir plus : deblock.com

Ceci n’est pas un article sponsorisé.


[1] Tous de chez Revolut, respectivement Directeur Général Crypto, Directrice Générale des Opérations, Directeur Général des Paiements.

[2] Directeur de l’ingénierie chez Ledger.

[3] Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, institution intégrée à la Banque de France, chargée de la surveillance de l’activité des banques et des assurances en France. 

[4] Prestataire de Services sur Actifs Numériques.

[5] Autorité des Marchés Financiers.

[6] Auprès d’Hoxton Ventures, Headline, 20VC et Motier Ventures mais aussi de business angels comme Thomas France (fondateur de Ledger), Jonathan Levin (fondateur de Chainalysis) et The Chainsmokers (artistes electro américain).