« L’écriture d’un smart contrat devrait ressembler à celle du code d’un avion ou d’une centrale nucléaire, pas à celle d’un site Web avec images et CMS […]. A posteriori, il est clair qu’on est passé trop rapidement du petit contrat “Hello, World”, à un gros truc complexe, avec plein de fric, comme “The DAO”. C’est un peu comme si, immédiatement après la traversée de la Manche par Blériot, on avait lancé sur l’Atlantique un avion de 500 passagers payants… »