« Au grand festin du numérique, serez-vous à table ou dans l’assiette ? » Ainsi s’achève, sur fond musical rappelant « les Dents de la mer », la bande-annonce de l’Université numérique du MEDEF qui se déroule actuellement au siège parisien de l’organisation patronale.
Au programme de la journée d’hier : « La blockchain, technologie révolutionnaire de transmission d’informations et de stockage numérique, permettra-t-elle la désintermédiation ultime ? »
Introduction de Jocelyn Grignon, Partner chez Grant Thornton France.
Intervenants : Clément Jeanneau et Alexandre Stachtchenko cofondateurs de Blockchain France.
En savoir plus : universitedunumeriquemedef.fr
Extrait d’un article publié sur itespresso.fr :
Le premier intervenant [Jocelyn Grignon, Partner et Directeur IT risk services chez Grant Thornton France] introduit le sujet en rapprochant la monnaie virtuelle bitcoin de la couche blockchain (qu’il est possible néanmoins de dissocier).
Le potentiel du « registre décentralisé » fascine et inquiète en même temps. « On retrouve un peu l’utopie infantile des débuts de l’Internet comme la collaboration qui serait plus forte que la régulation », estime Jocelyn Grignon. Potentiellement, il annonce « la fin des notaires, des banquiers, des assureurs et des commissaires aux comptes ». On comprend tout l’intérêt d’une firme comme Grant Thornton vu sous ces perspectives assez sombres aux premiers abords […]
Les spécialistes Clément Jeanneau et Alexandre Stachtchenko, co-fondateurs du hub Blockchain France, prennent le relais en évitant de tomber dans une démonstration hype en termes de prospective. Ils insistent sur les « plus grandes forces » de la blockchain : la décentralisation (comme le peer to peer) et surtout la désintermédiation.
> A lire sur itespresso.fr