« Au départ, il y a une start-up en 2014 qui cherche à développer de nouveaux types de microprocesseurs afin de donner vie à un certain internet des objets [1]. Les développeurs comprennent vite qu’il manque une technologie faisant le lien entre tous les objets connectés. On voudrait pouvoir les relier autour d’une blockchain […]. Mais aucune n’assure la possibilité de micro-transactions sans frais. De plus, toutes les blockchains connues possèdent des problèmes d’échelle qui peuvent se révéler trop contraignants. »
> Article de Cyril Grunspan à lire sur son blog
[1] On reconnaît dans le début d’IOTA, l’acronyme « IOT » pour « Internet of Things »