Pour Alexandre David, consultant et formateur pour Eureka, « nous vivons actuellement une explosion cambrienne qui est en train de faire naître autant de blockchains propices à l’expérimentation ». Pour autant les « registres partagés et répliqués » des consortiums bancaires sont « très différents des blockchains originales, dont ils n’exploitent pas toutes les potentialités » et pourraient bien « n’être qu’une formule transitoire dans le long processus de la révolution numérique des secteurs bancaires, financiers et assurances ».
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