Extrait du discours de Jack Maller lors de la conférence BTC Prague 2025.
Il y a des moments où l’histoire se joue sans bruit d’explosion, sans révolution sanglante. Des moments où une idée, une technologie, un code… devient un cri moral. Pour ma génération, Bitcoin n’est pas une option financière, c’est une réponse éthique à un monde qui nous a tout pris, sauf l’envie de nous relever. Avant d’être une technologie, Bitcoin est un code moral.
On nous vend Bitcoin comme une opportunité d’investissement. Les médias le réduisent à une affaire de « bros », de yachts à Miami et de spéculation. Ils n’ont rien compris. Bitcoin, c’est une déclaration de principes. Une insurrection silencieuse contre le vol institutionnalisé que représente la monnaie fiat. C’est un système où les règles sont gravées autant dans le code que dans la conscience collective :
- Tu ne censureras pas.
- Tu ne confisqueras pas.
- Tu ne voleras pas.
- Tu ne créeras pas d’argent à partir de rien.
Bitcoin ne triche pas. Il ne ment pas. Il ne promet rien qu’il ne puisse garantir. Sa vraie force ? Les nombres. Pas les milliards de capitalisation. Les nombres des clés privées. La cryptographie. Des nombres que même l’énergie d’un millier de soleils ne peut casser. Un système où aucune violence, aucun État, aucun président ne peut te voler ce qui est à toi.
C’est ça, la véritable propriété. Une propriété défendue non par des hommes armés, mais par les mathématiques. Une propriété absolue, inviolable. Pas besoin de chefs, de partis, de subventions. Pas besoin de demander l’autorisation à qui que ce soit. Il suffit d’un ordinateur, d’une connexion, d’un portefeuille et d’une volonté : celle de sortir du système. Bitcoin n’a pas besoin de violence. Il n’a pas besoin de tuer pour se défendre. Il n’a besoin que de vous.
Ce système corrompu, nous y sommes nés. Ce n’est pas notre faute. Mais en tant que jeunes, en tant qu’humains… c’est désormais notre responsabilité. Depuis que je suis CEO, j’ai compris une chose : La société ne se répare pas par des slogans, mais par la responsabilité personnelle. Et je parle ici à ceux qui vivent dans l’ombre, à ceux qui ont grandi dans la douleur, la dette, la peur, la solitude, à ceux qui pensent que tout est verrouillé.
Je n’ai plus de dollars. Je n’en veux plus. Pas parce que je suis devenu riche (même si, oui, Bitcoin fait bien son boulot), mais parce que je ne veux plus participer à un système qui détruit la jeunesse, la famille, la santé, l’espoir. C’est notre outil, notre feu, notre roue, notre révolution.
La liberté, ce n’est pas quelque chose qu’on réclame. C’est quelque chose qu’on construit. Choisissez la responsabilité. Choisissez l’éthique. Choisissez la paix. Choisissez Bitcoin.