« Noël oblige, pourrait-on dire… retour à Strasbourg pour ce dernier repas de l’année. Son organisation a été évidemment quelque peu affectée par le mouvement social affectant notamment les transports. Quelques parisiens, inquiets de ce genre d’aléas, ont préféré renoncer in extremis. “Et ça se dit anarchiste” a ironisé l’un des convives. Mais d’autres avaient choisi de se lever tôt et, comme c’est toujours le cas en période de grève, de voyager dans des wagons à moitié vides (et sans contrôle) pour débarquer assez tôt dans l’étonnante gare de Strasbourg dont une étrange bulle a fait une sorte d’univers à la Truman show matière à plaisanterie pour le café à l’arrivée. Cela a tout de même l’avantage d’être plus réversible qu’une fonction de hachage. »
Article de Jaques Favier à lire sur le-coin-coin.fr